Maya, drame de Mia Hansen-Love, France, 2018, 1h47. avec Roman Kolinka, Alex Descas.

Deux reporters rentrent de leur captivité en Syrie. L'un suit le parcours de soins, l'autre n'en veut pas. Son amie veut renouer des liens qui n'existaient plus entre eux. Il décide de partir en Inde où sa mère demeure encore, et à Goa où se trouve la maison familiale convoitée par des investisseurs immobiliers. A son arrivée il reprend contact avec les amis de ses parents, fait la connaissance d'une jeune fille Maya qu'il a connue lorsqu'elle était encore enfant. Peu à peu naît une complicité entre eux, puis l'amour qu'il refuse de développer, ayant compris que son travail de reporter était plus important et difficile à gérer lorsqu'on avait des attaches. La jeune fille ne comprend pas, mais est obligée d'accepter la décision, et  de continuer ses études, d'autant que les investisseurs immobiliers ont fait brûler la maison de l'enfance. Donc, il repart en reportage. Les paysages qu'il parcourt lors d'un voyage pendant son séjour en Inde sont d'autant plus fabuleux qu'ils sont en dehors de chemins touristiques habituel et donnent de l'Inde une vision plus sympathique et abordable.